De ce siècle immonde, je n`ai retenu qu`une chose ;
Les hommes se jouent des femmes en leur envoyant des baisers et des roses...
Et ces femmes niaises qui acceptent de se faire lutiner ostensiblement
J`ai beau les mépriser, les foudroyer, les répugner fermement,
Elles arrivent à éveiller en moi une lubie tenace...
Car, je peux toujours vitupérer contre elles et leur faire face,
Alors qu`elles seront épanouies par le plaisir de la luxure,
Je serai, moi, toujours seule avec ma connaissance et mes quatre murs.
J`essaye de faire une critique de ces actes dévergondés,
Mais je sens, non sans honte, une pointe d`envie mesurée.
Je vois l`Amour partout ; dans les livres, les films, les posters et même dans les trains...
Mais jamais encore sur les visages humains.
Car, je peux toujours vitupérer contre elles et leur faire face,
Alors qu`elles seront épanouies par le plaisir de la luxure,
Je serai, moi, toujours seule avec ma connaissance et mes quatre murs.
J`essaye de faire une critique de ces actes dévergondés,
Mais je sens, non sans honte, une pointe d`envie mesurée.
Je vois l`Amour partout ; dans les livres, les films, les posters et même dans les trains...
Mais jamais encore sur les visages humains.
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